dimanche, août 23, 2009

Les Irrésistibles








Ah !! Ma lulu, que ferais-je sans toi ? Je crois que je ferai des bêtises. . . Quand j'allais dans la mauvaise direction, tu me remettais dans le droit chemin. Quand je montais un poney pour la première fois et que toi tu l'avis déjà monté tu me conseillais pour le monter dans les meilleures conditions.


J'espère que tu comprends que tu m'es indispensable et que

Je t'aime gros comme ça

JE T' AIME













Manue...manue...manue. Tu es un peu comme une grande soeur pour nous. Toi et la sagesse cela fait qu'un !! Quand on est stressées avant un concours tu nous détends, en fait tu es indispensable. Heureusement que tu as changé de club car sinon on ne se serait pas connu et cela aurait fait un trou dans nos existences à Manon, Lucille et moi.



Je t' M avec un grand AIME . . .







Manon, quand je te vois je repense aux moments durs aux coups de gueule... Mais maintenant tout cela est derrière nous.
Maintenant on se tape des délires à propos de "Quel homme, il fait pas marrer les pélicans".


C'est insencé comme je tiens à toi et que

I LOVE

YOU !!!!!!!!!!






Je me rappelle qu'en 6è on ne s'aimait pas trop mais on s'est reconnues au pca et depuis on est amies. Heureusement d'ailleurs car tu es un peu comme le sang qui coule dans mes veines, simplement
je t'aaaaaiiimmmmeee........aime........aime....



jeudi, août 13, 2009


L'hippophagie






Définition:

Habitude de manger du cheval.


Introduction:


Cet acte est monstrueux, comment peut-on faire une chose pareille un être si noble, magnifique. . . Vous allez me dire qu'on tue bien des bovins pour leur viande mais là ce n'est pas comparable ; le cheval est la meilleure conquête de l' homme, ce n'est pas rien !!!





Le transport:



Je pense que je ne vais pas vous l'apprendre mais un quart des chevaux conduit à l'abattoir meurt pendant le transport, car les chauffeurs ne font pas assez de pauses pour leurs permettre de boire même si c'est obligatoire !!!



Ceux qui ne meurent pas sentent l'odeur du sang lié à la mort de leurs congénères. Ils s'accrochent pour survivre car ce sont des êtres qui ont envie de vivre comme vous et moi. . . Mais le pire, c'est qu'ils ne savent pas où ils vont, ce qu'ils vont endurer. . .etc.


A la sortie du camion, ces chevaux voient d'étranges hommes emportant leurs congénères. Et c'est à ce moment précis de leur vie que ces beaux chevaux commencent à avoir peur et sentir le danger. Ils ne verront plus jamais la lumière du jour. . .

A présent commence une longue descente vers la ... mort !





L'abattoir:



Les chevaux, un après l'autre, vont dans une salle ou la lumière est tellement forte qu'elle les rend "aveugles ". Le cheval qui est dans cette salle a peur et commence à se dire qu'il n'est pas là par hasard. Et là, le moment propice arrive, une longue barre de fer vient lui cogner entre le front et le chanfrin,... et c'est fini. Au moins on peut se dire qu'il n'a pas souffert, mais bon s'il avait pu éviter de se faire tuer . . .





La boucherie:


Avez-vous déjà vu de la viande de cheval emballée dans des sachets ? Et bien ce n'est pas beau à voir. En plus, souvent, les bouchers qui la vende, en sont fier car la chair est TENDRE . . .


Epilogue:



Dites-vous aussi que l'on ne mange pas que des chevaux adultes mais aussi des poulains ou pouliches...


Heureusement, une loi dit qu'une jument en gestation ne peut pas être abattue.


Ce n'est pas fini, il y a aussi le massacre des chevaux. Il y a des gens sur cette terre qui n'ont pas de coeur. Ils ont pour loisir de massacrer les chevaux, poulains ... etc. Le but est de faire souffrir le plus possible l'animal comme ça quand l' abattoir récupère la viande, elle est encore plus tendre. Mais souvent les chevaux ne finissent pas qu'à l'abattoir, mais au fond de leur pré avec leur congénères, et agonisent jusqu'à la mort ( je n'exagère même pas !!! ).


Par exemple l'histoire d'Arture le poulain et Quammille la jument sans jambes.








Conclusion:



Comment peut-on leur faire cela, à eux qui n'ont rien demander, sinon à rester sauvages et à galoper sur les plaines.

En les domestiquant, on a su faire d'eux nos compagnons de batailles, de loisir et de vies. . . Et heureusement aujourd'hui, il y a des gens qui les dorlotent et en prennent soin car sans eux que seraient les balades en forêt et les galops sur la plage et surtout que serait l'homme sans le cheval. Parce qu'en fait, l'homme est la plus belle conquête du cheval, il a su nous aimer qui que nous soyons en ne regardant que le bon côté des choses. . .